Mercredi 25 novembre : Sainte Catherine d'Alexandrie

Sainte Catherine d'Alexandrie

C'est l'une des plus célèbres martyres des premiers siècles. « La plus jolie et la plus savante des jeunes filles de tout l'Empire. Elle était mystiquement fiancée à la Sagesse éternelle. Son inspiration lui fit écarter avec succès les objections contre la Foi des philosophes chargés de la convaincre de la stupidité du Christianisme. Elle est morte martyre (IVe siècle).

Le récit de l’Apocalypse que nous lisons aujourd'hui nous met en scène, une nouvelle fois, la liturgie céleste. Les élus chantent « le cantique de Moïse, serviteur de Dieu, et le cantique de l'Agneau ». C'est l'occasion pour nous de nous rappeler que nos liturgies de la terre sont célébrées en communion avec la Liturgie du Ciel. Rien ne sera donc trop beau pour célébrer notre Dieu !

Mettons un soin particulier pour la préparation et la célébration de l'eucharistie dominicale.

Qu'elle soit action de grâce pour tous les dons de Dieu !

Elle refait nos forces, nous rend capable de rendre compte de notre foi devant les hommes.

Jésus nous avertit, si nous sommes fidèles à sa Parole, « on vous persécutera ; on vous livrera aux synagogues et aux prisons, on vous fera comparaître devant des rois et des gouverneurs, à cause de mon nom. Cela vous amènera à rendre témoignage ».

N'ayons pas peur... « C'est moi qui vous donnerai un langage et une sagesse à laquelle tous vos adversaires ne pourront ni résister ni s'opposer. (...) C'est par votre persévérance que vous garderez votre vie ».

Avec les saints qui contemple la face de Dieu dans le ciel, chantons le cantique de l'Agneau :

            « Grandes, merveilleuses, tes œuvres, Seigneur Dieu, Souverain de l’univers !

            Ils sont justes, ils sont vrais, tes chemins, Roi des nations.

            Qui ne te craindrait, Seigneur ?

            A ton nom, qui ne rendrait gloire ?

            Oui, toi seul es saint !

            Oui, toutes les nations viendront et se prosterneront devant toi ;

            oui, ils sont manifestés, tes jugements. »

Père Philippe